Le pape François a quitté le sol congolais l’avant mdi de ce vendredi, ce après, avoir passé son séjour de quatre jours à Kinshasa où il a eu d’intenses activités.
Placée sous le signe de la réconciliation, cette venue du Saint-père est un motif d’espoir, voire d’espérance pour nombre des congolais qui attendent de voir ce pays-continent se remettre sur les rails pour un décollage définitif.
“Tous réconciliés en Jésus-Christ”, cette campagne papale a connu des meilleurs moments, des vives émotions, des profondes réflexions et de fortes recommandations et motivations spirituelles et humaines.
Depuis l’aéroport international de Kinshasa, l’évêque de Rome a été escorté, tambours battant le long du boulevard Lumumba, à bord de sa papamobile, jusqu’au palais de Nation où il a rencontré le chef de l’Etat congolais, Félix Tshisekedi.
Plusieurs observateurs qui scrutent l’actualité congolaise s’interrogent : Qui la visite du Pape va-t-elle réconcilier ? Est-ce que les dirigeants qui se détestent du haut de leur arrogance et suffisance alors que les résultats ne suivent pas depuis plus de six décennies.
Si l’arrivée du pape a touché Martin Fayulu pour pardonner Félix Tshisekedi. “J’ai accordé mon pardon à ceux qui ont volé la victoire du peuple ”. Mais Joseph Kabila, de son côté, a sapé l’invitation du gouvernement pour participer à cet événement historique de la visite du successeur de Benoît XVI.
Si tous reconnaissent l’autorité morale du souverain pontife, il faut cependant que tous tous ne s’en servent comme de la Constitution et des lois du pays pour en exploiter de manière sélective les dispositions.
Dans le chaudron congolais où la politique n’a ni éthique ni morale, encore moins la règle, on ne s’étonnera pas de voir et d’entendre demain plusieurs déclarer avoir reçu l’absolution du Pape.
Fin de mission, Pape laisse sa rémission aux justes
Le pape François a quitté le sol congolais l’avant mdi de ce vendredi, ce après, avoir passé son séjour de quatre jours à Kinshasa où il a eu d’intenses activités.
Placée sous le signe de la réconciliation, cette venue du Saint-père est un motif d’espoir, voire d’espérance pour nombre des congolais qui attendent de voir ce pays-continent se remettre sur les rails pour un décollage définitif.
“Tous réconciliés en Jésus-Christ”, cette campagne papale a connu des meilleurs moments, des vives émotions, des profondes réflexions et de fortes recommandations et motivations spirituelles et humaines.
Depuis l’aéroport international de Kinshasa, l’évêque de Rome a été escorté, tambours battant le long du boulevard Lumumba, à bord de sa papamobile, jusqu’au palais de Nation où il a rencontré le chef de l’Etat congolais, Félix Tshisekedi.
Plusieurs observateurs qui scrutent l’actualité congolaise s’interrogent : Qui la visite du Pape va-t-elle réconcilier ? Est-ce que les dirigeants qui se détestent du haut de leur arrogance et suffisance alors que les résultats ne suivent pas depuis plus de six décennies.
Si l’arrivée du pape a touché Martin Fayulu pour pardonner Félix Tshisekedi. “J’ai accordé mon pardon à ceux qui ont volé la victoire du peuple ”. Mais Joseph Kabila, de son côté, a sapé l’invitation du gouvernement pour participer à cet événement historique de la visite du successeur de Benoît XVI.
Si tous reconnaissent l’autorité morale du souverain pontife, il faut cependant que tous tous ne s’en servent comme de la Constitution et des lois du pays pour en exploiter de manière sélective les dispositions.
Dans le chaudron congolais où la politique n’a ni éthique ni morale, encore moins la règle, on ne s’étonnera pas de voir et d’entendre demain plusieurs déclarer avoir reçu l’absolution du Pape.
Non, ne lave pas blanc ce que chacun refuse de nettoyer par lui-même. Et quiconque espère se faire absoudre de ses fautes, devra résoudre à se repentir, à les confesser et puis à les réparer.
Les Congolais garderont un souvenir de cette visite historique, 38 ans après celle du Saint Jean-Paul II.
Nicolas Kayembe
