L’adjoint de François Beya assure l’intérim de son titulaire pendant une période de haute tension avec en toile de fond une supposée tentative de coup d’État qui serait organisée par François Beya.
Des enquêtes se poursuivent dans l’entre-temps, l’homme poursuit son séjour en garde à vue dans les locaux de l’Agence nationale de renseignements.
La société de télécommunications airtel est somme à donner des renseignements nécessaires sur un de ses abonnés, inconnu de tous, qui serait en interaction permanent avec le chef du Conseil nationale de sécurité (CNS) François Beya.
Les sièges du CNS étaient scellés jusqu’à nouvel ordre après l’indisponibilité de François Beya. Tout porte à croire qu’ils seront rouverts pour permettre à Jean Jacques Bukasa de faire son travail.
Josué NK