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CONSTANT MUTAMBA DÉFIÉ : DES FAUX ET USAGES DE FAUX POUR ÉCLABOUSSER LA SUCCESSION KLAT

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Alors que le ministre de la Justice et Garde des Sceaux Constant Mutamba bataille dur sur tous les fronts pour redorer l’image de la justice congolaise, des fauteurs en eaux profondes refusent de s’affranchir des velléités du passé pour leur survie. C’est le moins que l’on puisse dire des  » faux et usages de faux » qui s’invitent dans l’affaire « Succession KLAT » dans le seul but de débouter l’un des héritiers Eddie KLAT au profit de son frère aîné et de spolier le patrimoine successoral. Et ce, au moyen d’un faux jugement confectionné à la sauvette, à en croire la défense de la partie plaignante, pour donner à CHARIF KLAT la qualité d’unique liquidateur de la succession.

Derrière ces stratagèmes, on cite des hommes politiques de haut serail, qui tentent d’instrumentaliser la justice pour réduire au silence Eddie KLAT, la partie plaignante dans la succession et stopper, s’ils le peuvent, ses démarches entreprises pour rentrer dans ses droits de fils.

Au nombre des artisans de cette forfaiture, la partie plaignante cite d’éminents avocats comme Me Nyabirungu Mwene Songa, Me Gustave Beya Siku, Me Célestin Lukombe Nghenda, et bien d’autres personnalités.
Cependant, ces pourfendeurs sont bloqués par l’évidence des faits et des preuves apportées par Eddie KLAT qui dénonce, dans la foulée, l’instrumentation de la justice et l’insécurité dont il fait l’objet lui et des proches.
Est cité également dans ce tripatouillage, l’homme d’affaires libanais Abed Achour qui profiterait de ses liens avec la Première dame de la République pour tenter d’influencer les autorités judiciaires contre la partie plaignante, afin de tenter de spolier les biens légués par le richissime homme d’affaires franco égyptien KLAT.
Mais le jugement servant de soubassement aux détracteurs, se révèle être un faux et usage de faux savamment orchestré mais sans traces dans les annales de la justice ni au journal Officiel.

Quoi qu’il en soit, la quête du soutien politique dans une affaire qui concerne deux frères issus du premier et du second lit de leur propre père, se heurte malheureusement aux conclusions cinglantes des tests d’ADN effectués à Kinshasa tout comme à l’étranger sur les deux héritiers qui ne se sont connus qu’après le décès de mon leur illustre père biologique, lesquels tests confirment le lien de consanguinité de deux frères KLAT.

Faute de soutien au haut niveau de l’État, Eddie KLAT, le ]cadet de la succession KLAT, peine à triompher sur ses détracteurs dont les manœuvres visent à obtenir le classement sans suite du dossier alors qu’il est détenteur d’un jugement de qualité auquel s’oppose son frère aîné.
Qui pis est, les détracteurs vont jusqu’à orchestrer un plan diabolique mettant Eddie KLAT en insécurité permanente et le contraignant en clandestinité.

Des menaces de mort contre Eddie KLAT

Tout en dénonçant les revers d’une justice à deux vitesses et de deux poids deux mesures, Eddie KLAT, s’insurge en outre contre les tentatives d’enlèvement et menaces de morts à son endroit et de ses proches.

À en croire des sources concordantes, le plaignant Eddie KLAT a plusieurs fois sollicité sa protection aux autorités compétentes pour obtenir une garde de sécurité pour lui et sa famille. Mais aucune suite favorable ne lui est réservée alors que sa maison a été visitée par des hommes lourdement armés non autrement identifiés.

Malgré tout, le jeune congolo-égyptien nourrit encore plein d’espoir en notre justice grâce au leadership éclairé du ministre d’État Constant Mutamba qui veut une justice équitable en vue de promouvoir l’État de droit prôné par le Chef de l’État Félix Antoine Tshisekedi.
Eddie KLAT en appelle au vaillant ministre de la Justice et Garde des Sceaux pour stopper toutes les manœuvres pernicieuses de certains fossoyeurs de la justice en complicité avec quelques gabarits du régime pour piller le riche patrimoine de la succession KLAT ainsi que les persécutions physiques et morales à son encontre.

L’héritage au coeur des convoitises à Kinshasa

Parmi les biens successoraux légués par KLAT et qui font l’objet d’une grande convoitise de certains bonzes du régime, il y a lieu de citer le bâtiment des Nations Unies occupé par le Haut Commissariat des Nations Unies pour les Réfugiés (HCR) à GB, le siège des Témoins de Jéhovah avec les deux concessions voisines occupées respectivement par les sociétés AFRITEC et JUNGERS.
Dans le même répertoire, la succession KLAT comporte aussi la parcelle abritant l’Université William Boot et l’Église Armée du Salut, située au croisement des avenues du Marché et Kasaï, l’immeuble la Rose sur l’avenue de l »OUA, la parcelle N⁰ 1 de l’avenue Malemba Nkulu et rebaptisée Safi, du nom de la femme d’un dignitaire du régime. La succession revendique par ailleurs la société KLAT INTERNATIONAL et les comptes ouverts dans les livres des banques étrangères.

Au lieu de vivre en paix de son héritage, Eddie KLAT est pourtant l’homme à abattre pour certains caïmans qui n’arrêtent pas de multiplier des manèges pour le déshériter et des brimades pour le contraindre au silence.

Même son épouse, une journaliste de profession dans un média de Kinshasa, n’est pas à l’abri.
Pour avoir dénoncé, dans le cadre de sa profession, des anti-valeurs et l’incivisme des agents de police au cœur de la résurgence de l’insécurité dans la ville de Kinshasa, Mme Muinga Denise fait l’objet de menaces de mort et de persécutions diverses.

Ce que l’on croyait être un acte isolé se révèle que la jeune journaliste du Groupe Le Potentiel paie non seulement le prix de l’intolérance politique pour ses dénonciations mais aussi pour sa liaison avec le prince héritier de l’empire KLAT.
Le Mandat 

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