2023, une année importante dans l’histoire politique en République démocratique du Congo qui verra le peuple de cette nation riche en sol et sous-sol mais compté parmi les pays les plus pauvres du monde passer pour la 4éme fois aux urnes afin d’élire un nouveau dirigeant à la tête de ce pays-continent.
Le président Commission électorale nationale indépendante (CENI), Dénis Kadima et celui de l’Office national d’identification de la population (ONIP), Richard Ilunga se sont dit déterminés à réaliser leurs missions respectives, celles de faire que, les prochaines échéances électorales réussissent.
Dans sa réaction, Martin Fayulu, l’opposant Congolais et la bête noire de Fatshi, fulmine contre ces deux institutions.
Selon le candidat malheureux à la présidentielle 2018 remportée par son adversaire de taille Félix Thsisekedi, la Centrale électorale et l’ONIP est alliance destinée à intensifier la planification de la tricherie.
« CENI-ONIP, une alliance destinée à intensifier la planification de la tricherie. L’article 211 de la Constitution est clair : C’est la CENI qui organise les opérations d’enrôlement en toute indépendance. Pas donc de mutualisation possible avec l’ONIP. Votre plan ne passera pas », a tweeté ce vendredi, le Président de l’ECiDé.
Il y a lieu de signaler que, la Commission électorale nationale indépendante (CENI ) est l’une des « institutions d’appui à la démocratie » de la RD Congo, créée à la suite de la Constitution de la transition et l’Accord global et inclusif. Cet organisme de droit public congolais est autonome tant administrativement que financièrement. L’ONIP de son côté, concerne l’identification de la population. Il a l’avantage de mettre fin au système déclaratif de l’âge et de la nationalité en dehors du fichier général de la population et de la carte d’identité.
NK
