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Zoom sur Kinshasa

EMBOUTEILLAGES À KINSHASA : CE CASSE-TÊTE DES AUTORITÉS URBAINES !

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La grande question qui se pose pourquoi les autorités Congolaises avec tout ce qu’ils détournent ne sont pas à mesure de mettre des panneaux de signalisation dans les routes de Kinshasa ? Le plus grand problème des embouteillages reste et demeure la gestion des intersections, de routes secondaires et de croisements.

Les taxi – bus dénommés 2007 et les motos ne respectent rien du tout. Ils passent dans tous les sens. Ils se disent appartenir aux autorités ou militaires les plus gardés. Ils ne sont pas les seuls. Il y a aussi les autorités du pays qui sont champions dans les violations de Code de la route et sens uniques. Au lieu de souffrir avec la population pour trouver les solutions, ils appliquent les solutions de force pour garder le pays dans les mêmes conditions. Ce pays ne saura pas avancer si les autorités sont les premiers hors-la-loi ou ne respectent pas les codes de la route ou les lois du pays.

La politique en Afrique est un moyen de se foutre de respect de lois. Les voleurs sont blanchis, les incapables sont couverts, les détourneurs sont protégés. Nous apprenons que les mandataires membres du partis de Sama Lukonde sont préservés par le mot d’ordre du Président du Sénat qui menace tout celui qui porterait la main sur ses poulains même quand ils volent, il faut les laisser. Cas de L’ONEM. Voilà le pays que l’on veut.

À la fin, c’est cet ancien premier ministre qui n’a rien fait pour ce pays que le pays va prendre en charge après n’avoir rien apporté durant son activité.
L’amour du Congo demande un chef qui soit sans sentiment mais objectif. Le Congo n’en a pas encore. Le Chef de la trempe de Rawlings du Ghana qui a été prêt à tuer son propre frère qui a violé les lois, n’existe pas en RDC.
Si les routes continuent avec ces embouteillages bêtes et bénins dans une décadence prononcée, les autorités sont donc des incapables et cela traduit les détournements en cascade dans ce pays où les moindres choses devraient faire appel à un appui extérieur alors que les politiciens se filent de gros avantages dont les jeeps de nouveau modèle. C’est triste d’écouter de gyrophares qui se faufilent dans les trous sans une réunion d’urgence pour l’état des routes ou sanctionner le ministre des infrastructures.

L’on passe dans de quartiers sans électricité sans interpeller le ministre de l’énergie. Mais ce dernier est allé négocié avec les allemands les contrats de production d’électricité au point de se demander que fait tous les impôts, taxes et redevances de la République pour donner à la SNEL les vrais moyens de sa politique et lui demander des comptes ou l’Office de Routes et L’OVD, les moyens adéquats comme a l’époque de Mobutu pour améliorer notre quotidien. Tout n’est pas appels d’offres.

L’état doit savoir cebst quoi le marché public ? Arranger ses routes ne font la partie de marchés publics. Les occidentaux ne peuvent pas nous imposer la manière de gérer. Ils voient seulement le marché public à imposer mais pas tous les détournements de ceux qui gardent l’argent chez eux après avoir pillé leurs pays. Pour ça, ils ferment les yeux et leur accordent l’exil.

En laissant le Ministre des infrastructures en paix, cela est la preuve que tous savent où est parti l’argent de sans trous qui rappelle celui de rames. Comment espérer un développement dans un tel environnement quand les projets ministériels ne sont que de moyens de détourner l’argent et non de vrais projets pour l’amélioration du quotidien de la population.
Les embouteillages sont donc le cadet de souci de nos dirigeants et la misère du peuple leur porte peu. Au lieu de réduire le train de vie, ils demandent la contribution des pauvres qui ont plusieurs mois impayés !

Le Mandat

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