Il faut de l’électricité propre, écologique et qui respecte l’environnement. Il n’y a pas mieux que l’hydroélectricité produite par le Barrage d’INGA et les autres barrages à travers le pays. Si l’Afrique du Sud et l’occident cherchent à exporter l’électricité D’INGA, le Gouvernement de la RDC est embarqué dans une nébuleuse pour dépenser sur des énergies renouvelables dont la RDC n’a presque pas besoin. L’éolien ou le solaire sont de dépenses exorbitantes par rapport à la décision du Gouvernement de bien réhabiliter les turbines D’INGA. Pourquoi la RDC ne favoriserait pas l’investissement D’INGA ? C’est la question.
Le barrage D’INGA avec sa capacité installée s’il était à fond, il produirait de l’électricité pour toute l’Afrique. Mais au lieu de se donner à cette possibilité d’exportation favorable à son économie avec l’entrée des devises, la RDC pense sortir ses devises pour acheter des groupes électrogènes, installer des éoliens et prendre des espaces pour les panneaux solaires.
Avec toutes ces eaux qui traversent le pays et plus de 5 barrages à travers le pays , la RDC a vraiment besoin de toutes ces dépenses en électricité ?
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Le leadership misé sur la SNEL et son DG soutenu par la Banque Mondiale semble être l’ennemi juré des congolais et de son avenir en électricité. Car malgré les financements de cette institution, la dégradation en électricité devient plus accrue qu’il y a quelques années. Le délestage et les poches noires se multiplient.
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LMDT