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PLUS DE 20 MILLIONS DE DOLLARS DISPARAISSENT DE LA TRAÇABILITÉ DE RECETTES DE LMC CHAQUE ANNÉE !

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Scandaleux, inouï, impensable mais réel. Plus de 20.000.000 de dollars se perdent chaque année dans la gestion de droits de trafic rétrocédés par l’État Congolais aux Lignes Maritimes Congolaises. Sans compter les sommes de redevances minières réduites au tier par le Directeur financier qui signe 197.000 $ US alors que le vrai chiffre est plus de 450.000 $ US par mois, selon l’aveu de ce dernier à une commission parlementaire de l’ancien parlement diligentée à LMC. Soit plus de 250.000 $ US invisibles par mois.

Plusieurs diront comment est-ce possible ? Le premier cas est le contrat de rétrocession négocié par la Direction Générale de LMC. Ce contrat rétrocède à AMICONGO 15 % des droits revenant à l’Etat congolais sur base d’aucune logique car selon l’arrêté interministériel de monopole de l’AMICONGO dont le TVC est signataire, l’Etat lui a donné 2 dollars par tonne dont 1 dollar pour les frais de régulation et 1 dollar pour les frais statistiques. A ce jour, AMICONGO doit plus de 8.000.000 USD non retracés à LMC outre la rétrocommission de plus de 6.000.000 $ US à rétrocéder.
La deuxième rétrocession est le contrat signé entre LMC et la Province du Haut-Katanga. La rétrocommission est de 20 % dont 5 % pour les gens de LMC ( que le DG doit spécifier) et 15 % pour la Province, sûrement retenus déjà à la source (à préciser aussi dans quel compte de la province). Un autre contrat est signé entre LMC et la Province de Lualaba avec une rétrocession de 20 % dont LMC prend 8 % (qui sont les membres de cette commission) et Lualaba 12 % (compte à spécifier).
Il est clair que la somme de ces commissions font 55 % sans compter la commission octroyée au Consortium Chinois USCC négocié par l’actuel Directeur Général MUKENDI qu’on veut encenser et mettre en conflit avec le VPM et soutenu par Lambert Mende.

Somme toute, plus de 20.000.000 sont en fuite dans les commissions que le DG et la DGA de LMC gèrent avec leurs familles aidés par Lambert Mende et des administrateurs véreux. Outre cette somme, l’article ainsi visé, cite un chiffre d’affaires de 32,5 millions usd par an renseignés par le Conseil Supérieur du Portefeuille et que cette somme attirerait la convoitise des politiciens pour cette société qui marche bien, selon ce Journal. Cette fausse déclaration est dénuée de tout fondement pour la bonne et simple raison que LMC n’a pas d’activité et cela est même donné dans son rapport financier remis au CSP. Sa seule activité qui réalise ces recettes est la perception des droits de trafic maritime et les redevances minières FSR dont lesdits droits lui sont rétrocédés par le Ministre des TVC. En outre, le DG de LMC a été incapable de défendre la politique de son entreprise devant le VPM Bemba. Il a fait appel à ses experts qui n’ont pas été à la hauteur sachant que Bemba sort de l’ICHEC. On peut se demander pourquoi le CSP cache les vrais chiffres car le rapport d’exécution budgétaire de 2023, du côté trésorerie donne de réalisations des recettes de plus de 40 millions Usd selon le document officiel de LMC. Où sont partis plus 7,5 millions usd ? Est-ce la complicité du CSP ?

Jean Pierre BEMBA en colère 

Mis au courant de la situation chaotique par le DG lui-même qui a envoyé le document de l’endettement au VPM le croyant un parvenu en gestion, le Vice-premier Ministre en charge de Transports et Voies de Communication, décida d’ordonner un audit de droits de trafic dans cette société dont les droits rétrocédés n’ont rien apporté de concret sinon changer la vie des mandataires et de ses acolytes directeurs associés à l’affaire. Malheureusement, le DG de cette entreprise use de subterfuges pour demander l’intervention du Ministre d’État au Portefeuille au motif que LMC dépend exclusivement du Portefeuille.

Dans le souci de diaboliser le VPM Bemba, ils vont publier un article dans un média périphérique pour attirer l’attention du Président de la République en leur faveur. Alors que Mende triche dans LMC en violant ses statuts dans ses articles 31 à 33 qui stipulent que l’âge limite requis pour tout administrateur est de 70 ans. Si le PCA venait à le totaliser au courant de son mandat, le dernier Conseil d’administration où il atteint ses 70 ans va constituer sa dernière réunion et devra démissionner. Mende aurait trompé toute une République sur son âge qui est autour de 80 ans, ce dernier n’a pas honte de se poster contre le VPM qui veut voir clair dans la gestion des droits rétrocédés.
Si LMC réalisait les recettes renseignées, qu’ont-ils fait alors de cet argent ? Car un ‘navire’ coûte moins de 30 millions. Et pourquoi n’ avoir pas assaini les finances de la société avec des dettes partout. C’est de la mauvaise gestion dans le secteur de Transport, souligne un expert anonyme avant de se demander.

Ces réalisations dont se vante  le comité Mukendi dans le Journal sont réalisées sur quelle activité ? Le CSP qui donne 18 millions de tonnes peut dire le taux de fret qui peut donner ce montant ? Ils veulent en plus manipuler l’opinion nationale pour dire que les projets pour LMC retenus au niveau de TVC ne sont plus visibles par la volonté de Bemba de vouloir imposer les mandataires de MLC dans cette boîte.

La fuite en avant du DG Mukendi 
Erreur et fuite en avant face au scandale que soulève l’argent perçu par LMC ! Oui, un scandale. Des sociétés comme CONNEXAFRICA qui doit plus de 3.000.000 usd à LMC et qui a même déjà payé 500.000 USD en signe de bonne foi perçus par le Directeur financier de LMC qu’accompagnaient le sous – directeur en charge de la comptabilité et l’ancien Directeur Commercial et Exploitation, cette somme risque de prendre une detination inconnue si rien n’est fait. Il en est de même de la somme auprès de Marinvests qui n’est renseignée nulle part même pas dans le rapport de gestion 2023. C’est même la raison pour laquelle le DG de LMC, le DGA et leur allié MENDE ont fait de leurs enfants de Directeurs partout dans cette société. Cet ancien directeur Commercial et Exploitation gêne ce plan. C’est la raison de son éviction au profit du beau-frère du DG qui n’a pas plus de 3 ans dans cette boîte et qui ne connaît rien du maritime ni du commercial mais bombardé Directeur Commercial et exploitation sans avoir réalisé un seul exploit dans LMC. C’est ici qu’on peut demander au PCA la motivation de ces choix de directeurs dans une société aussi technique et commerciale ? Quel dossier administratif et de référence a été présenté au Conseil pour faire des enfants du DG, le fils de Mende et de la DGA de cadres de direction ?
Pour cet ancien Directeur commercial et exploitation, sa présence à ce niveau gêne le DG qui veut cacher toutes les perceptions comme les redevances minières et les recettes provenant de Marinvests.
Voilà comment cette entreprise semble cacher la vérité et viser le VPM car ils se sont déjà mis en complicité avec l’IGF qui a fait deux ans sans rapport précis sur la gestion calamiteuse de LMC. Or selon les informations en notre possession, l’IGF a bel et bien constaté le scandale administratif et financier dans cette société. Mais étant donné le scandale judiciaire au moment des faits où les mandataires sortaient gagnants en justice, elle a opté pour la remise des fonds détournés. Le DG et la DGA ont été sommés de rembourser plus de 3.000.000 $ US détournés. Et personne ne sait si ils ont déjà tout remis.
L’IGF a aussi remarqué que les deux mandataires se sont payés les 6 mois d’indemnités de sortie et le DG s’est payé tous ses arriérés des salaires pendant que les autres agents et retraités peinent et meurent dans l’attente. Elle a exigé le retour de ces fonds au lieu de porter l’affaire en justice. Dieu seul sait si cela a été aussi exécuté.
Donc parler de l’IGF comme preuve est encore faux. Et c’est dans le seul but de la salir à nouveau comme ils le font sur Bemba.
S’ils ne se reprochent de rien, l’ordre de mission signé par le VPM n’aurait pas été boycotté. Les conseillers qui s’y sont rendus n’ont pas été reçus par ce DG alors qu’il était dans son bureau. Jean Pierre Bemba tient à respecter son secteur qui a reçu mission auprès du Président de la République comme secteur clé de la relance de la modernisation du pays. Le Chef de l’Etat l’a même rappelé lors de l’ouverture de la 8ème édition d’expo Béton dont la présence de LMC n’a aucun impact sinon de dépenses de visibilité sans navires. C’est cela le commercial de Mukendi avec sa famille.

Le VPM BEMBA au secours de l’État 

En bon financier, le VPM Bemba veut d’abord voir clair sous forme de diagnostic avec les perceptions de redevances et ce qu’on en a fait avant de mettre en place une politique maritime avec les retombées de la récente mission en Chine. Ce n’est donc pas un duel ou un duo mais les intérêts du pays dont les droits devraient être affectés à la relance des entreprises et non aux engagements excessifs des incompétents et au partage de revenus entre mandataires. S’il a mis beaucoup de gens dans sa poche par la corruption, le DG se bute à un dur à cuire qui n’a pas besoin de billets verts pour se vendre. Selon l’analyse financière qu’aurait réalisée le CSP sur le chiffre d’affaires lui envoyé par LMC en 2023, en bon auditeur, LMC a perdu 95 % de son rendement, le rendement financier est négatif et le rendement économique est nul, le rendement commercial est aussi nul avec une Valeur ajoutée consommée à 99 % par les charges du personnel en 2023.

En 2023, LMC a connu une augmentation de 100 agents (13 %) pour 62 % d’augmentation des charges du personnel. Ces éléments qui proviennent de rapport pourtant validé au Conseil d’administration et dont se vante ce Journal, sont suffisamment graves pour démontrer l’incapacité de gestion dans le chef des mandataires et même du CSP. Il appert que les mandataires de LMC ont rempli la société de leurs enfants pour réduire au silence les anciens agents dont toute possibilité de contestation est vouée à l’échec. Même le choix du Président de la Délégation syndicale contre l’agent influente feue MONONI ressentie à ce poste a été commanditée par le DG pour placer le neveu de son expert Pwema. L’article cite aussi un expert Mukunda. Or ce dernier a son petit frère retraité et est l’assistant direct de Monsieur MUKENDI MBIYAMUENZA, l’actuel DG. Voilà comment ils pensent salir la personnalité de VPM Bemba Gombo.
Le DG et le PCA ont placé leurs deux enfants sans qualifications à Anvers comme de directeurs full alors qu’ils ne maîtrisent ni les termes maritimes encore moins le calcul de taux de fret sinon posez- leur des questions. Les autres postes sont occupés par les enfants de mandataires n’ayant pas plus de 3 ans de carrière. L’audit administratif doit être organisé dans cette société pour qualifier les directeurs et rétrograder les incompétents promus par le DG et sa bande en violation de toutes lois (convention collective, Code de conduite de l’agent publique de l’état, les statuts de mandataires publics et le Décret 13/055 et l’ohada) afin de contrôler les recettes de LMC avec sa famille. tous ces directeurs ont moins de 3 ans, sans carrière ni compétence maritime et économique. Et pour bien bouffer les droits de trafic, et comme on a refusé de voir son fils DG dans Amicongo qu’il tenait à placer, JC Mukendi a nommé un de siens non agent de LMC au poste de DG dans Amicongo, poste réservé au cadres de direction de LMC. Le DG de LMC a fait de sa femme un agent payé à la fin du mois, participante aux commissions de l’entreprise. Il a promu son deuxième fils directeur en informatique à peine 2 ans et son troisième fils, désintoxiqué en Tunisie au début de cette année contre la drogue et qui ne connaît ni lire et écrire, Sous-directeur et le place comme son second assistant alors qu’il n’a aucun niveau universitaire. Avec ses enfants et sa femme , ils viennent d’effectuer une mission des vacances et le Directeur Financier à Anvers aux frais de LMC pour 12 jours dont chacun a empocher plus de 12.000 dollars et on ignore ce que lui même a pu avoir. Dieu seul sait ce qu’ils ont retiré auprès de Marinvests.

Pour cacher toute traçabilité des documents, il a créé une direction à la Direction Générale pour s’occuper des missions sans que le document ne puisse fuiter et il y a placé ses neveux comme de directeurs aussi. Il prévoit de mettre son beau-frère comme DRH pour fermer la bouche aux agents. Il fait de lui d’abord chargé des missions à la DRH, poste non connu dans la nomenclature des postes à LMC. Il le fait en attendant la retraite de l’actuel DRH qui interviendra l’année prochaine. Toutefois, dans cette même direction, il a déjà placé comme sous-directeur logistique son autre neveu alors qu’un ancien chef de service logistique qui a plus de 25 ans existe. C’est le même cas en informatique où son fils devient directeur full alors qu’un ancien chef de service de plus de 30 ans est là. Vous pouvez retrouver cela dans toutes les directions où les anciens plus compétents existent bel et bien.

Pour mieux saigner à blanc cette entreprise, ils ont écarté Madame Milemba du poste de DG d’Amicongo pour la remplacer par un certain Monsieur qui n’est pas cadre Direction de LMC, sa alors que ce poste est réservé aux directeurs LMC. Outre son remplacement, son contrat de travail de Directrice LMC été résilié;

En dehors de ces cas, ils ont négocié avec le prédécesseur de VPM Bemba, un Arrêté pour s’octroyer des exonérations de transport routier. Voilà encore l’incompétence manifeste de ces dirigeants qu’on veut comparer en duel avec Bemba. Mende s’est même permis de convoquer un Conseil d’administration pour décider sur l’exonération et envoyer ses experts auprès du Ministre des finances ignorant que l’exonération est de la compétence exclusive de ce dernier. Alors quand Bemba annule de telles décisions farfelues sur base de vrai droit, les ignorants et parvenus de LMC crient qu’il y a violation. C’est pour cette raison qu’il faut de mandataires qui maîtrisent non seulement les relations entre les ministères mais aussi qui ont un niveau de management et de connaissance des entreprises publiques. Cet Arrêté est donc inutile sur le plan de droit car nul n’a qualité d’exonérer sinon le Ministre des finances seul. Voilà la qualité des mandataires de LMC. Si Mende et MUKENDI ne le savent pas, ce n’est pas à Bemba de le leur apprendre cela.

C’est dans tout cela que le VPM veut voir clair car ils se déclarent de la famille du Chef de l’état dans le seul but d’opposer BEMBA à TSHISEKEDI pour leurs propres intérêts et ce, à l’heure où le pays a besoin de la cohésion nationale. Or les entreprises publiques n’ont pas été créées pour réaliser de chiffres d’affaires et payer les salaires mais répondre aux besoins sociaux selon le plan du Gouvernement. Et ce plan dépend exclusivement du Ministre ayant les Transports dans ses attributions. Les mandataires actuels de LMC en sont incapables car même l’objet social de LMC a été selon eux le transport routier. Scandale encore car le VPM Bemba a vivement critiqué les experts envoyés par le DG qui s’est senti dans les mauvais draps et crie aux voleurs pendant que c’est lui l’incapable.

De là à descendre dans la presse pour salir Un VPM de la trempe de Bemba dont la justice internationale n’a rien vu à lui reprocher, est inacceptable et mérite d’être tiré au clair ! MLC se préserve le droit d’ester en justice cette distraction de mauvais goût.

LMDT

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