Le Groupe de 13 membres de l’Union sacrée tire une sonnette d’alarme sur un probable glissement dans la convocation de l’électorat en 2023.
La question sur les réformes de la loi électorale défraie la chronique au sein de la classe politique. Après les partis de l’opposition, qui se sont tous inscrit en faux contre la loi organique portant organisation et fonctionnement de la CENI adoptée en première lecture à l’Assemblée nationale, c’est au tour du G13 de hausser le ton pour exprimer ses inquiètudes sur le respect du délai constitutionel dans la convocation de l’électorat de 2023.
Dans un communiqué, ce mercredi, le G13 voie une manace de glissement se profilé consécutivement au retard cumulé dans la préparation des élections prévu en 2023, à 876 jours restants dans le délai constitutionel.
«A 876 jours du délai constitutionel de la convocation des scrutins pour 2023, le retard accumulé dans la préparation des élections menace, si l’on n’y prend garde, sérieusement la perspective de la tenue effective dans les délais constitutionels des élections en 2023 et ce, compte tenu de l’ampleur des opérations préélectorales et électorales à réaliser», lit-on sur ce communiqué.
Cette réaction des proches du Félix Tshisekedi, il convient de le souligner, tombe quelques jours après la réunion que le chef de l’État a tenu avec les sénateurs pour les persuadé qu’il va ternir dans le délais constitutionels élect
ions