Un vent de confusion souffle sur la scène géopolitique mondiale. Selon certaines sources américaines, une affaire explosive mettrait en cause le président français Emmanuel Macron et le gouvernement rwandais dans un détournement massif de fonds et d’armes initialement destinés à l’Ukraine. Joe Biden aurait collaboré avec le président français pour accélérer l’agenda de la balkanisation de la RDC avant l’arrivée de Donald Trump à la Maison Blanche, indique une révélation qui enflamme les réseaux sociaux à Kinshasa.
35 milliards de dollars disparus
Au cœur de la polémique : une somme colossale de 35 milliards de dollars, qui aurait été débloquée par les États-Unis sous l’administration Biden pour soutenir l’Ukraine dans sa guerre contre la Russie. Mais selon un rapport de presse, cet argent ne serait jamais parvenu à Kiev. Le nouveau président américain exigerait désormais des comptes et demanderait au gouvernement ukrainien de justifier l’utilisation des fonds.
Des armes lourdes détournées vers le Rwanda
Autre révélation choc : environ 70 % des armes lourdes fournies par Washington à l’armée ukrainienne auraient été détournées et se retrouveraient aujourd’hui au Rwanda. Toujours selon ces sources, ces équipements militaires, censés renforcer les défenses de l’Ukraine, auraient été livrés aux rebelles du M23 et aux forces de l’Alliance des Forces du Changement (AFC) via Kigali, avec la complicité présumée de la France.
Un soutien clandestin aux rebelles du M23 ?

Le rôle de Paris dans cette affaire suscite de nombreuses interrogations. Emmanuel Macron aurait-il utilisé son influence pour transférer ces armes aux mouvements rebelles dans l’est de la République Démocratique du Congo (RDC) ? Depuis plusieurs mois, Kinshasa accuse Kigali de soutenir ces groupes armés qui sèment la terreur dans l’est du pays.
Silence des médias occidentaux
Alors que cette affaire pourrait bouleverser les relations diplomatiques entre la France, les États-Unis, l’Ukraine et la RDC, les grands médias internationaux, notamment France 24, semblent éviter le sujet. Ce silence médiatique alimente encore plus les spéculations et renforce les soupçons de complicité au plus haut niveau.
Si ces accusations se confirment, elles pourraient déclencher une crise diplomatique majeure, avec des conséquences imprévisibles pour la région des Grands Lacs et l’Europe. La communauté internationale reste en attente d’une réaction officielle des gouvernements concernés.
Au début de la résurgence des hostilités, le Secrétaire général des Nations Unies avait reconnu l’incapacité de la Monusco à contrer les rebelles du M23 » équipés d’armes modernes ». Ce qui peut faire accréditer les accusations portées contre Marcron et le Rwanda.
Correspondant Particulier