Économie

UNE ÉLITE DE PACOTILLE AUX AVANTAGES DÉMESURÉS

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La loi de Pareto de 20-80 peut être une belle illustration en RDC. En effet, elle aurait voulu que 20 % d’ intellectuels d’un pays puissent supporter 80 % d’analphabètes de ce pays et transformer leur pays.

Cette loi est ce qui a changé l’image de l’occident. La prise de conscience d’une poignée de personnes a fait de miracle. L’Asie aussi a fait la même expérience avec son élite intellectuelle. Si les uns et les autres louent le miracle des Émirats arabes Unis, en Afrique c’est le désarroi.

Aux Émirats, c’est toujours une poignée de personnes qui a donné les résultats étonnants que tous cherchent à visiter.
Mais quand on vient en Afrique, c’est le contraire. Les quelques intellectuels de 1960, ont réussi à donner l’indépendance quand les 20 % de leurs enfants pillent tous les efforts entrepris. Ils étaient peu nombreux à parler mais ils avaient une véritable ambition.

Libérer l’Afrique de l’esclavage. Ils ont cru que leurs enfants continueront ce combat et laveront pour la plupart leur ignorance intellectuelle dont se moquaient les colons. Une jeunesse engagée et battante a accepté la mort pour voir leurs enfants dans les beaux draps de la liberté.
60 années après, rien comme développement. Si on doit analyser l’Afrique du Sud qui est développée, il y est grâce à l’apartheid et à la présence de l’homme blanc.

À ces jours, les noirs qui se battent mettent en place un banditisme de rues sans précédent. Il est hasardeux de s’aventurer dans les rues sud africaines. L’africain développe la haine contre son frère noir comme jamais possible.

Dans l’Afrique subsaharienne, c’est l’envie du pouvoir. À l’intérieur, les communautés se battent et se divisent. Le pouvoir est l’objet de tribu et de clan. On veut le pouvoir pour le pouvoir et on a pour alliés que ses amis et frères.

L’ÉLITE sortie de l’université est dirigée par une classe de parvenus sociaux au point que l’intelligence laisse place à de prophéties, à des visions spirituelles et à de rites mystiques. L’appartenance à de sectes mistiques ou à un regroupement politique devient la raison de diriger le pays. Il n’y a plus vision ni volonté de faire sortir le pays de difficultés actuelles. 20 % d’intellectuels se partagent 80 % de revenus du pays pour eux et leurs familles.

Les 80 % du reste qui espéraient à l’intelligence et à la loyauté de cette classe intellectuelle, ayant compris le deal, s’adonnent aussi à sa manière à la conquête du pouvoir. Les gens sans qualification deviennent ministres, députés, directeurs et donnent de leçons aux érudits.
La société est complètement renversée et le 20 % d’élites ne voient que leurs intérêts.
Ils compliquent tout si leurs noms ne sont pas là. Ils croient que la vie doit tourner autour d’eux.

Ils violent toutes les dispositions légales pour leurs familles et refusent le moindre bienfait au peuple qui les a élus. Pire, ils pensent changer les lois pour conserver le pouvoir et ne le faire passer qu’entre eux.
Baignant dans la richesse au détriment du peuple, ils pensent que c’est l’occasion de tout saborder.

Venus de villages, ils n’ont rien fait pour leurs terroirs. Ils ont préféré vider les villages pour les villes. Sans vision du monde et sans politique ni stratégie, ils pensent que l’argent et la politique sont les seuls moyens pour développer le pays.
Les 20 % d’élite Congolaise sont incapables de former un gouvernement en 1 mois mais Ils veulent diriger 100 millions de personnes en 5 ans.
Si le conseil de l’ancien président étaient suivi à savoir:
– il lui a manqué 15 personnes pour changer le Congo
– il n’a pas reçu à changer la mentalité du congolais
On aurait gagner en temps. Car aucune de personnes de cette classe politique ne peut faire quelque chose pour ce pays. Le train de vie, les lois pour eux et les mises en place pour leurs enfants sont les crimes auxquels la justice ferme les yeux alors que les lois du pays condamnent.
En tout état de cause les 20 % d’intellectuels africains sont les plus nuls que le monde aient connus. Ils n’ont ni noblesse ni fierté. Des voleurs sans scrupule qui détournent 400 millions pour aller prêter 200 millions de la Banque Mondiale. Les bandits de grands chemins qui tuent, pillent et se lavent les mains en offrant de dons au peuple qu’ils laminent à l’Est. L’un d’eux a crié : « Quittez les groupes armés ».

Se connaissant criminels, ils veulent être honorables et excellences dans un pays à 80 % analphabètes. Ceux qui devraient espérer en eux sont désorientés, perdus et n’ont plus de salut que dans le banditisme de rues. A la fin, on assiste à des coups d’état manqués à cause de frustrations et du fait qu’aucune possibilité d’espoir d’un lendemain meilleur ne se dessine. Faible d’esprit, le peuple tombe dans le piège de petits faits et gestes appelés communément coop. Un autre moyen de voler dont la justice ferme les yeux.
Chacun négocie un contrat et personne ne peut reprocher à l’autre ce qu’il fait.

Le salut est dans le débarras. Le Président de la République et la Première ministre ont besoin de fermeté et d’autorité pour faire quelque chose sinon, ce pays sombrera dans le chaos le plus difficile de sa création sous l’envie de ses voisins.

A bon entendeur salut !

BMW

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